Sisters (2016)

Le corps de l’Ombre (2014)


Duo

Elsa Wolliaston (danse)

Frédéric Blondy (piano)



« Le corps de l’ombre », deuxième volet du duo d’Elsa et Frédéric approfondit le chemin inauguré en 2013. La rencontre des deux artistes autour du piano improvisé est devenu projection vers les spectateurs d’une force commune. Ils passent, en préservant l’autonomie du son et du mouvement, du dialogue à l’interaction. Il n’y a plus qu’une seule « matière », à la fois son, présence et énergie, crée par les deux corps qui chacun à sa manière mobilisent la masse du piano. Pour cela nous voyons Elsa et Frédéric sortir d’eux-mêmes. Dès le départ ils déploient une intensité de jeu qui est portée jusqu’à la fin sans défaillance. Il n’y a une même respiration sur la scène et dans la salle, une aventure partagée, le récit d’un passage de l’ombre à la chair par la lumière. 


Jacques Mérienne



A propos de Frédéric Blondy: il « est l’un des pianistes les plus aventureux d’aujourd’hui. Son courage, son audace associés à un abandon plein de grâce dessinent une voix singulière dans laquelle se joue joie et tristesse, rire et fureur, où comédie et tragédie se combinent en un hymne mystique qui célèbre les idées et la création. 

Il commande le clavier comme un magicien qui sonde les confins de son art. Ses doigts sculptent l’air à une vitesse féroce ou avec un splendide éclat plein de grâce, selon l’endroit où son esprit fertile le conduit. Il est à la fois pianiste et chef d’orchestre, sa palette musicale surgissant des cordes martelées par les feutres, pincées par les doigts, frappé par les poings serrés,…, comme autant de mélodies et d’harmonies rugissant du coeur de ce piano presque irréel. M. Blondy est un véritable Ulysse quand il s’agit d’entreprendre une aventure musicale sur son instrument. Piano seul qui devient un orchestre symphonique complet dont le musicien ingénieux s’élançant d’un instrument à l’autre, tire partie de chacun d’eux à la fois. « the world music report » - Raul da Gama



Vivre commence toujours aujourd’hui (2013)



Duo

Elsa Wolliaston (danse)

Frédéric Blondy (piano)




A propos de Frédéric Blondy: il « est l’un des pianistes les plus aventureux d’aujourd’hui. Son courage, son audace associés à un abandon plein de grâce dessinent une voix singulière dans laquelle se joue joie et tristesse, rire et fureur, où comédie et tragédie se combinent en un hymne mystique qui célèbre les idées et la création. 

Il commande le clavier comme un magicien qui sonde les confins de son art. Ses doigts sculptent l’air à une vitesse féroce ou avec un splendide éclat plein de grâce, selon l’endroit où son esprit fertile le conduit. Il est à la fois pianiste et chef d’orchestre, sa palette musicale surgissant des cordes martelées par les feutres, pincées par les doigts, frappé par les poings serrés,…, comme autant de mélodies et d’harmonies rugissant du coeur de ce piano presque irréel. M. Blondy est un véritable Ulysse quand il s’agit d’entreprendre une aventure musicale sur son instrument. Piano seul qui devient un orchestre symphonique complet dont le musicien ingénieux s’élançant d’un instrument à l’autre, tire partie de chacun d’eux à la fois. « the world music report » - Raul da Gama